top of page

Témoignage de Léa

" Les 10 séances ont constitué un accompagnement vraiment bluffant. Je m’attendais à observer des différences posturales certes, mais pas autant. En effet, j’ai été régulièrement suivie par des kinésithérapeutes ou des ostéopathes, et cela m’a toujours soulagée mais ponctuellement (mes douleurs et problèmes de dos [scoliose, lordose] revenaient toujours).

Le travail avec le Rolfing et avec Michel m’a permis à chaque séance d’observer une modification naturelle, ancrée et sans effort de ma posture, la soulageant et ayant énormément de répercussions positives et assez incroyables à tous les niveaux (émotionnel et mental notamment). Je « sais » que nous sommes une globalité et que l’émotionnel a des répercussions sur le physique et réciproquement, seulement là je l’ai vécu, et intensément, de séance en séance selon les zones du corps travaillées.

Suite à des traumas, des violences morales et physiques remontant à l’enfance et à l’adolescence, j’ai connu de gros problèmes pour m'affirmer, ou pour poser mes limites, ou encore assumer le fait d’être grande (de taille). Tout au long de cet accompagnement, je me suis naturellement affirmée de plus en plus, j’ai assumé ma taille, le fait de prendre de l’envergure à tous les niveaux de ma vie, d’oser encore plus mes rêves et j’ai développé mon activité professionnelle de manière fulgurante. Les limitations se sont envolées, et d’une « corde de guitare toute détendue », je me suis structurée et j'ai repris du poil de la bête, me positionnant de façon beaucoup plus claire et présente au monde ; avant transparente, je me sens aujourd’hui beaucoup plus présente, ancrée, incarnée, prête à concrétiser !

Je sais que je reviendrai d’ici un an refaire ce parcours de 10 séances pour aller encore plus loin dans l’éclosion et la réalisation de qui je suis à tous les niveaux. "

Témoignage de Corinne

" Voici mon témoignage à l'issue de mes séances de Rolfing. Tout d'bord je tiens à te remercier, ma vie est plus légère et très appréciable à vivre. Mon amoureux, mes enfants et mes amis me trouvent beaucoup plus épanouie et heureuse dans ma vie.

 

La tête basse dans les épaules, le pas retenu, les voyages en voiture difficiles, la montée ou la descente d'escalier avec de l'appréhension et ne pas savoir par quel pied commencer, ne pas trop danser de peur de mal dormir et de me sentir bloquée de partout, de l'agressivité car fatiguée de mal dormir à cause des douleurs diffuses, une sensibilité développée à ne plus savoir prendre du recul, renfermée comme un chien battu avec mes souffrances, et encaisser les réflexions du style: "C'est l'âge qui veut ça !" ou encore prendre de la cortisone et de la codéine pour me soulager un peu, voilà l'état dans lequel je me trouvais avant de faire des séances de Rolfing.

 

Des soucis, des émotions, des chocs, nous en avons tous. Parfois bénéfiques, parfois néfastes pour notre esprit et notre corps et pourtant la vie continue, alors il vaut mieux que ça roule le plus naturellement possible. Le Rolfing a été ma solution au point d'en avoir oublié mes douleurs... et sans médicament !!!

Grâce au Rolfing aujourd'hui j'ai envie de m'étirer tous les matins, et que c'est bon de revivre cette sensation !

J'ai l'impression d'avoir les yeux grands ouverts et de marcher la tête haute. Je peux monter et descendre les escaliers sans me poser de questions, je dors beaucoup mieux. Je sors de la voiture avec une aisance que j'avais perdue. Je suis libre de mes mouvements et tellement bien que je me demande comment j'ai pu supporter ces douleurs physiques pendant tant d'années. Je suis enfin libérée des noeuds émotionnels et physiques qui étaient devenus insupportables au quotidien.

 

Un grand MERCI Michel, ce n'est que du bonheur de vivre le quotidien et je te cite "normalement"! "

Témoignage de Catherine

Témoignage : mon cheminement personnel grâce au Rolfing

La découverte du Rolfing

" J’ai entendu parler du Rolfing dans le premier livre de Marie-Lise Labonté « Se guérir autrement c’est possible » dans lequel elle explique comment ce travail l’a aidée à se réconcilier avec son corps.

En lisant ce livre, je me suis alors rappelée qu’un praticien de Rolfing exerçait à Toulouse, tout près de chez moi. Je l’avais repéré sur un Salon l’année précédente, sans avoir alors été particulièrement attirée par cette technique. Lors de mon retour sur le Salon, après avoir lu ce livre, je me suis sentie inspirée à m’inscrire à une séance de découverte du Rolfing avec ce praticien. Dès le départ, j’ai senti que cette technique allait réellement m’apporter un mieux-être.

En effet, dès que le rolfeur me touchait, même très délicatement, mon corps se mettait à réagir vivement, par des douleurs aigües qui, lorsque je n’essayais pas de résister mais au contraire d’y plonger de tout mon être, se muaient assez rapidement en une expérience émotionnelle très intense. J’ai décidé d’aller au bout du cycle de 10 séances proposé.

Le travail de libération en profondeur

Pendant les séances je sens que le but de ce travail est double. Il s‘agit certes de resculpter mon corps pour redonner progressivement à chacune des parties la forme harmonieuse qu’elle aurait dû naturellement conserver sans les divers

« accidents » de la vie. Mais surtout, il s’agit de dénouer toutes les tensions internes qui sclérosent différentes parties de mon corps sans que j’en aie conscience, et ainsi de libérer toute l’énergie bloquée par ces nœuds.

Au fur et à mesure des séances, j’éprouve de très vives douleurs qui là encore sont physiques au premier abord, avant de devenir très rapidement émotionnelles. Elles se manifestent sous forme de cris, de larmes, de profonde tristesse, de peur, de désespoir, de colère aussi, et lorsque je m’applique à accueillir ces manifestations, le cœur grand ouvert, alors me reviennent des scènes du passé, souvent de ma petite enfance, que je croyais évacuées depuis longtemps. Et la douleur engrammée dans mes cellules lors de ces événements, vécus quand je n’avais pas assez de recul ou de force intérieure pour les traiter, ressurgit dans le présent lors des séances, aussi vive qu’elle l’avait été à l’époque, mais cette fois pleine de sens. Et l’autre grande différence est que maintenant je me sens capable d’accueillir totalement cette douleur, sans aucune résistance, pour la laisser se dissoudre et finir par se transformer en beaucoup de compassion et d’amour pour moi-même.

Je me souviens d’avoir vécu ces séances en complicité totale avec mon corps, pleine de gratitude à son égard d’avoir porté à ma place toute cette souffrance pour me protéger, me préserver. Je me souviens lui avoir déclaré à plusieurs reprises : « Je te remercie d’avoir encaissé et porté tout cela pour moi. Je me rends compte de ton courage et de ta force. Maintenant je suis devenue capable d’assez d’amour pour te libérer, pour accueillir dans la douceur ces souffrances du passé et pour les transformer en énergie magnifique. »

Le cadeau de la dernière séance

Dès la première séance, le Rolfing m’apporte des bienfaits sur le plan physique et leur écho sur le plan émotionnel.  La nouvelle stabilité de ma posture me permet de prendre encore plus de plaisir à mes séances de jogging, et d’affronter avec une énergie renforcée les tâches et les challenges quotidiens. Mais je suis surtout émerveillée de sentir en moi davantage de détermination et de force intérieure. J’ai l’impression de traverser avec beaucoup de sérénité toutes les péripéties de ma vie, dans une période de grands changements au niveau professionnel.

Alors que j’entame la 10ème et dernière séance, le Rolfing me réserve encore une très belle surprise. L’objectif de cette séance est de passer en revue toutes les parties du corps et de réunifier l’ensemble. Mais le praticien ne peut aller au bout du travail prévu ce jour-là. Il faudra ajouter une séance. Pour l’instant, mon corps a encore quelque chose à lâcher, quelque chose de très lourd, qu’il a gardé bien profondément enfoui, sans doute parce que ce nœud s’est formé lors d’une période de ma vie où j’étais encore bébé, et où c’était mon inconscient qui était surtout aux commandes.

Dès le début des manipulations, alors que le thérapeute revient sur un pied qui avait pourtant déjà amplement lâché ses nœuds de souffrance lors de la 3ème ou 4ème séance, je ressens une douleur extrêmement vive et je fonds brutalement en larmes. Tout de suite, c’est comme si une enclume de tristesse s’abattait sur moi. Mes larmes ne cessent pas, je les trouve douces et réconfortantes, comme un baume sur une sensation de profond désespoir, de puits noir et sans fond, qui ne m’évoque rien de connu.

Devant ces manifestations de désarroi qui se prolongent, le rolfeur est patient et attentif. Puis il m’encourage à exprimer un mot ou une image associée. Tout d’abord rien ne vient, avant que tout doucement, le mot « Amour » se nomme en moi. Je suis surprise car j’ai du mal à faire le lien avec le sentiment de détresse qui m’assaille. Je ne comprends pas.

Il poursuit doucement :

  • Amour… C’est amour absent ? Amour blessé ? Amour contrarié ?... 

  • …. Qu’avez vous dit en premier ? Amour absent ?

  • Oui, je crois…

  • C’est ça ! C’est l’amour absent !

A ce moment une scène se forme devant mes yeux et les informations m’arrivent très clairement. Je vois près de moi mes parents très jeunes, comme je n’ai encore jamais réussi à me les rappeler dans mes souvenirs, ni même à les voir sur des photos. Je comprends alors que cette scène se passe quand je suis tout bébé, et que je viens de réaliser que ma mère attend un autre enfant. Je ressens alors la croyance qui se forme en moi : « Mais je ne vous suffis pas ? Je ne suis pas assez bien pour vous ? »

C’est un choc pour moi de réaliser cela. J’ai l’impression que la ligne du temps devient spirale et que ces deux moments coexistent ensemble, l’instant présent dans le cabinet du thérapeute et la scène du passé qui vient de surgir en moi, étonnamment présente. Je me sens alors capable de témoigner toute la tendresse nécessaire au petit bébé que je suis, en le rassurant sur le fait que tout cela n’a rien à voir avec lui, qu’il a toujours la même immense valeur quels que soient les événements qui surviennent au sein de sa famille. Et l’amour que je ressens envers ce bébé est si intense qu’il le guérit instantanément.

La prise de conscience d’un schéma de vie

Dans les heures puis les jours qui suivent, de retour chez moi, je mesure à quel point ce vécu de tout petit enfant (je devais avoir entre 8 et 10 mois) a marqué ma vie jusqu’à ce jour. J’ai enregistré dans mes cellules « Je ne suis pas assez bien, je dois donc m’efforcer d’être parfaite pour être aimée et appréciée ».

Et une sensation de grande clarté m’envahit. Je ressens alors qu’il s’en est suivi une course effrénée au perfectionnisme pendant toutes mes études puis dans ma vie professionnelle jusque vers mes 40 ans. Cela m’a coûté beaucoup de souffrance et d’efforts et m’a empêchée d’apprécier tout simplement ces aspects de ma vie.

Je réalise que c’est ce perfectionnisme et cette croyance de « ne pas être assez bien pour être digne d’être aimée des êtres que j’admire le plus au monde » qui m’ont conduite à penser qu’il était normal de jouer un rôle dans ma vie, surtout dans ma vie professionnelle.

Comme la vie est bien faite, cette course infernale en vue de recueillir l’estime et l’approbation de mes chefs s’est terminée « dans le mur », à 38 ans, avec un harcèlement moral et un burn out. J’ai bien failli laisser ma santé lors de cet épisode douloureux de ma vie, qui a pourtant été ce qui m’est arrivé de mieux dans une perspective long terme. J’en ai été transformée à jamais : Après cette traversée du désert, j’ai pu redevenir une personne vivante, joyeuse, et libre. Celle que je me souviens d’avoir parfois pu être avant l’âge de 8 ans.

Aujourd’hui, quelques semaines après la fin de mes séances de Rolfing, je me sens vraiment connectée à mon corps et je vis au quotidien une sensation de liberté et de sécurité aussi bien physique que mentale. "

Témoignage de Josiane

" Dans un premier temps je vous expose ma problématique : un manque de confiance total, pleine de phobies au point de n’avoir jamais pris la voiture alors que je détiens le permis de conduire depuis 1979. Toujours à me dévaluer.

Enfin vous voyez le tableau …. Pas très à l’aise du tout…et très mal dans ma carcasse 

J’ai donc 62 ans, j’ai connu le ROLFING sur le Salon «Vivre Nature Toulouse» le 27/03/2022 sur lequel j’ai assisté à une conférence dispensée par Michel Ginoulhac

Cela m’a paru très intéressant et du coup partante pour une «séance d’essai» le 01 avril 2022, 5 jours après…. Une fois arrivée pour mon essai je lis sur son book d’accueil :

«Bienvenue aux cassés…. aux tendus, aux stressés, etc..., et à tous ceux qui veulent vivre dans un corps plus joyeux, plus libre, plus conscient ! le ROLFING, une expérience hors du commun !»

Pas de doute je suis au bon endroit avec la bonne personne et la bonne méthode !!!!

Peut-être 10 minutes de Rolfing et déjà il s’est passé quelque chose comme une «ouverture» un «redressement» je ne sais pas dire.

Je décide alors de suivre la «préconisation» à savoir 10 séances et dès le 03/04/2022 je commence.

  • 1ère séance : la sensation d’une ouverture de la cage thoracique et de fait, un redressement de la posture, une impression d’être grandie, un truc dingue,

  • 2ème séance : prise de conscience de mauvaises postures et placements de mes pieds,

  • 3ème séance : encore plus de « prise de conscience de mon corps » et l’impression d’avoir une vision plus nette, plus grande, plus élargie. J’arrive à exprimer ce qui me fait mal et que je ne supporte plus – ne plus me laisser faire – et tout cela d’un ton neutre et sans «colère». Tiens tiens …. Il se passe des choses 

  • 4ème séance, 5ème séance, 6ème séance, 7ème séance : Peut-être plus de sommeil et surtout, il est réparateur. L’évolution se fait sans que je ne m’en rende compte plus que ça …….

Interruption des séances pendant 9 semaines, au retour, pour la 8ème séance, petit débrief :

1 => En comparaison avec l’année précédente, pour faire les même choses : travaux, démarches, etc… beaucoup moins voire pas de fatigue du tout pour des travaux plus fastidieux et difficiles que l’année précédente.

2 => Moi qui avais la phobie de conduire (j’avais un petit peu repris avant de partir), hé bien dans une situation non prévue : la voiture qui était stationnée à l’autre bout du village parce qu’elle ne voulait plus démarrer, a démarré. Spontanément je l’ai prise – parce qu’il ne fallait pas qu’elle s’arrête à nouveau et l’ai ramenée chez nous- alors que toutes les conditions pour lesquelles je ne l’aurais jamais fait étaient réunies – Pas très loin, qu’une fois, mais peu

importe, c’est la démarche, JE L’AI FAIT. Ce qui est très drôle dans cette histoire c’est qu’après j’ai été prise d’une peur rétrospective…bof !

3 => Gestion de conflit «très facile» sans colère, sans hausser la voix et prise de décision radicale sans retour possible. Chose qu’avant je n’aurais jamais pu faire.

Pas d’inquiétude pour la suite, pourtant cette décision remet en cause plein de choses et notamment le bien-être et la sécurité de ma maman qui vit seule, âgée, dans une grande maison excentrée du village. De toute manière : JE SUIS POSITIVE ET JE VAIS TROUVER LA SOLUTION POUR QU’ELLE SOIT BIEN.

4 => Sur le retour, pendant le trajet, «prise de conscience que ma tête a un poids», elle est lourde, comme si j’avais du mal à la tenir droite et levée….drôle comme prise de conscience… pour l’instant je ne sais pas ce que cela veut dire mais je vais trouver….

5 => A mon retour, les personnes que j’ai croisées se sont rendu compte que j’étais beaucoup plus affinée (cuisses plus fines), que j’avais une autre posture. Moi-même, je l’ai ressenti quand j’ai remis mes affaires habituelles.

La balance annonce – 2 kilos.

6 => Oups, j’allais oublier : Je me disais : «mais qu’est-ce qu’il a Michel à pousser ce soupir ? C’est pour que je le fasse ? C’est pour me dire que je peux me laisser aller ? Bof ……. Moi, lors des séances quand c’était un peu «douloureux»,

je bloquais ma respiration, je faisais des grimaces, mais en aucun cas je ne pouvais sortir ce soupir. Et puis un jour je me suis surprise à le pousser ce SOUPIR, puis de plus en plus, et, à chaque fois plus profond. Je n’étais pas en séance !!!!!

Qu’est-ce que ça fait du bien, il emporte avec lui toute la charge qui vous pèse, croyez-moi c'est comme une délivrance. J’ai repris mes 3 dernières séances, je pense qu’il va encore y avoir de l’évolution, j’en suis certaine.

Je voulais vous faire part de mon expérience pour vous dire que le ROLFING est vraiment très, très bénéfique et à tous les niveaux. Surtout n’hésitez pas à en faire et, comme moi, vous serez surpris et mieux dans votre corps.

 

MERCI MICHEL "

bottom of page